H. E. Hon. Roger Nkodo Dang |
Dans son articule du 26 mai 2018 de
‘’News 24’’ intitulé ‘’pourquoi le parlement pan-africain doit nettoyer
ses actes s’il veut survivre’’ Babatunde
Fagbayibo, professeur non titulaire de la loi internationale à l’université
d’Afrique du Sud a affirmé que les journaux sud africains ‘’ était extrêmes à la critique’’ du parlement pan africain et
que ‘’Pretoria pourrait être forcé de réexaminer ses contributions financière à
cause de la pression de communauté civile’’ Continuant, Fagbayibo écrit, ‘’ L’image
de marque du parlement comme corrompu est obligée de soulever des questions sur
ses existences. Le PAP est très cher. Quelques uns pourraient questionner si
c’est bon de maintenir ou si ce n’est pas mieux de canaliser ces fonds qui le
soutiennent aux autres projets stratégiques plus productifs de l’intégration régionale.
Ils comprennent le développement de l’infrastructure et la promotion de la bonne gouvernance ‘’
L’autre articule qui parait
dimanche le 20 mai 2018 à l’édition du Sunday times, intitulé. Ce qui on peut
faire mieux chez chef du Parlement panafricain, à grand frais pour l’afrique du
sud, l’auteur dit que le président du Parlement Africain Hon. Roger Nkodo Dang
à rejeté l’appartement ministériel lui offert par le gouvernement d’afrique du
sud en préférant de reste à l’hôtel couteux à sandton. Il a aussi accusé Dang d’avoir
rejeter un Mercédès – Benz E- class offert par l’Afrique du sud en préférant la
Mercedes – Benz ML sportif. Ces articules portent l’image que le fournissement
des fonds du Parlement pan africain vient du gouvernement sud- africain et
suggère que ces fonds canalisent aux autres projets. Mais quelle sorte de
fondement que le gouvernement sud-afrique fournit au Parlement pan Africain ?
Il est à noter qu’à
l’inauguration du Parlement pan africain le 18 mars 2004 à Addis Ababa,
Ethiopie, la République d’Afrique de sud et Egypte ont contesté d’être le paye
d’accueil permanant du Parlement. Après leurs présentations Le Sud – Africain a
été choisi au sommet du juillet 2004 par l’Assemblée des chefs des états de l’Union
Africain (AU) à Addis Ababa, Ethiopie.
Le choix d’Afrique du Sud
était possible grâce à l’assurance de l’ancien président de ce pays Thabo Mbeki que son pays construirait un
secrétariat digne pour le PAP à la cite de Gallaghar, Midrand et que le Sud d’Afrique
financerait le projet. Le président
Mbeki a promis encore la résidence officielle
du président de PAP et que son pays offrirait les privilèges et les immunités
diplomatiques pour touts les employés étrangers et parlementaires de PAP.
Suivant
à la suite de l’approbation de l’Assemblée, un Accord de pays d’accueil
(APA) a été signé entre UA (pour le PAP) et l’Afrique du Sud (représenté par le
Ministre des Relations Internationales et des Coopérations) pour une période de
cinq (5) ans au commencement qui a
expiré en 2009. Regrettablement après neuf ans d’expiration de cette APA
initiale, il n’a pas renouvelé l’accord malgré les efforts de PAP.
Quatorze ans (14) après le
premier APA étant signé le Sud d’Afrique n’est pas encore
commencé la construction de cite permanent promise pour le secrétariat de PAP, même la résidence officielle du président de
PAP même la résidence officielle du président de PAP. Ces facilités d’internet,
de communications, et de traduction fournis depuis quatorze ans sont devenus
démodés et dépassés. Je suis surpris si chacun de nous utilise encore des
ordinateurs de bureau et les portables achetés depuis quatorze ans dans cette ère
des révolutions à la télécommunication.
LE FOND DU PPA DE L’AFRIQUE DU SUD
L’impression crée par le Parlement sud-africain et accepté par les médias
locaux et les paysans sud-africains, c’est que le PPA est fondé seulement par
le gouvernement sud-africain, mais évidement le PAP ne reçoit aucun fonds
directement de gouvernement sud-africain. L’argent dépensé par le gouvernement
sud-africain est l’argent qu’il utilise directement aux services rendus par les
affaires sud-africains qui ont fait quelques services pour PAP. Cet argent
comprend le trente-et-un millions de Rand environs à ce qu’on dit payé pour
louer l’appartement loué pour le secrétariat de PAP notant que cet argent est
payé directement au propriétaire de l’appartement qui est sud-africain. Les
autres furnitures et services payés incluent les louages des bus et des voitures
pour les séances pour six (6) semaines chaque année et fournis par les affaires
sud-africains. C’est alors les affaires sud-africains qui sont les
bénéficiaires directs de l’argent dit dépensé par leur gouvernement sur PAP. Le
fait c’est que touts les fonds fournies par le gouvernement d’Afrique du Sud
retourne à l’économie sud-africaine.
Sans doute, la présence de PAP au Sud d’Afrique contribue positivement à
son économie. Par exemple, les fonds fournis par l’UA et les autres donneurs
pour les salaires de leurs employés et les autres activités sont dépensés par
ses employés au Sud d’Afrique. Les parlementaires qui ont été payé par leurs
pays même dépensent également leurs argents en Afrique du Sud pendent les
séances plénières et la séance de comité pour leur logement à l’hôtel et pour
leurs nourritures puis les autres visites internationaux se rendent visites au PPA pour une activité à
l’autre. La contribution de PAP à l’économie de l’Afrique de Sud est
indiscutablement R500 millions (cinq cent million Rand) chaque année sans
ajouter l’effet multiplie. Donc le profit économique provenu d’accueillir le PAP est mieux que l’argent dit gaspillé. En tout cas, l’Afrique du Sud s’jouit
du prestige et les autres bénéfices associés à l’accueillement d’une telle organisation
internationale.
LE SECRETERIAT DE PAP
C’est vraiment malheur qu’après quatorze ans, le Sud d’Afrique n’est pas
encore honoré sa promesse de construire un secrétariat permanent et digne pour
le PAP. Le secrétariat actuel est vraiment inadéquat. Par exemple, l’UA
vraiment dit constitue de 55 états et chaque pays ayant cinq parlementaires.
Cela veut dire qu’on doit arranger 275 chaises dans l’auditorium de plénier
pour ces parlementaires. Malheureusement il y a seulement 240 chaises environs et voilà
pourquoi il y n’a pas d’ordre d’assis parmi les parlementaires. Encore quelques
parlementaires n’ont pas de bureaux individuels pour se reposer quand ils ne
sont pas au plénier et ceux qui ont des
bureaux se plaident d’insuffisamment dans leurs bureaux, une situation qu’on
espère mieux.
LA RESIDENCE OFFICIELLE DU PRESIDENT
DE PAP
Le président de PPA, son excellence Hon. Roger Nkodo Dang était accusé
d’avoir rejetée une ‘’Résidence ministère’’ sous- rénovation donnée par le pays
hôte au lieu d’une maison louée à ’’ Sandton’’ Ainsi la Nouvelle de parlement
Africain qui peut faire autorité rapporte que la dite ‘’maison ministérielle
est pavillon de trois chambres à Pretoria qu’on affecté à première présidente
de Parlement, son Excellence Hon. Dr. Gertrude Mongella après l’inauguration de PAP en 2004 , comme toutes les choses dans le PAP au Sud d’Afrique. Cette
accommodation provisoire, maintenant convertie résidence permanente était
utilisée par Hon. Monella pour son cinq ans au pouvoir. Quand son Excellence
Hon. Dr. Idris Ndele Moussa décédé l’a succédé en 2009, il a aussi habité dans
le même appartement de trois chambres pendant touts ses trois ans de pouvoirs.
Son Excellence Hon. Bethel Amadi qui a succédé le docteur Moussa décédé encore
restait dans le même pavillon de trois chambres pendant ces périodes Pendant
ces ans (2004-2015) pas de meubles changés ou la peinture des murs. Il y avait
plusieurs plaintes aux vitres cassés,
les toits et la plomberie fuit. Le mur dans une des chambres est toujours
sombre qu’on la plus utilisée. Nos enquêtes montrent aussi que la situation est
devenue si pile que le parlement a écrit plusieurs lettres au Département des Relations Internationale
et Coopération pour la permission d’effectuer les réparations nécessaires mais
la réponse était que le Département des Travaux Publiques est le seul chargé
des immeubles du gouvernement et le seul agent qui peut faire une telle réparation.
A la conséquence, si Son Excellence Hon. Roger Nkodo Dang refuse de rester dans
la même pavillon de trois chambres à cause de ces conditions susmentionnées et
les meubles sans remplacés depuis 2004, Le Sud d’Afrique devrait être blâmé
pour ne pas honorer l’Accord du pays d’accueil. Pour les media sud-africains de
décrire Hon. Dang corrompu parce qu’il a refusé d’habiter à un tel pavillon est
malheureux t le plu peu charitable.
Le Parlement Pan- Africain est un de neuf organes de l‘Unité Africaine et
le troisième dans la hiérarchie et de l’ordre de Protocole. L’implication de le
problème sud-africain est le fait qu’il considère le Chef de la troisieme organe
d’UA égale d’un Ministre dans le
gouvernement sud-africain. Et meme dans cette instance, le Sud- Africain
peut-il nous dire que les meubles à la résidence de leur Ministres n’étaient
pas changés depuis 2004 ? Si le Ministre en conséquence se plaint de sa
résidence est-ce qu’on ne le peut pas se renseigner et considérer ? En
tout cas est-ce que l’Afrique de Sud a promis de renouveler la résidence ministérielle
pour le Président de PAP ou de construire une résidence convenable depuis
quatorze ans?
BUREAU ET MATERIEL DE COMMUNICATIONS
Comme déjà observé, l’installation d’internet les matériels pour
communication et traduction fournis depuis quatorze ans sont devenus obsolètes
mais jamais remplacés et revalorisés parce que l’accord de pays d’accueil n’est
pas encore réexaminé plus que neuf ans. Selon le reportage de la commission des
affaires monétaires et financière sur le Parlement Panafricain a proposé le
budget pour l’année budgétaire 2019. Le
Sud d’Afrique est incapable de revaloriser L’infrastructure de l’ICT de PAP depuis
longtemps et le PAP maintenant observe toujours problèmes les pannes de ces
infrastructures. Pour être pertinent et opérationnel au Parlement continental,
le PAP a proposer de dépenser la somme de $642,874 pour revaloriser ses
infrastructures d’ICT à l’année budgétaire 2019. C’est-à-dire, le PAP maintenant fournit des fonds pour acheter les matériels que le Sud d’Afrique doit fournir sous
l’Accord du pays d’accueil.
LA SECURITE DES PARLEMENTAIRES DE PAP
En 2016, les membres de parlement panafricain se sont plaints à
l’augmentation de taux des attentats violents contre eux quand ils viennent au
Sud d’Afrique pour des activités de PAP et demandaient plus de sécurité. Quelques parlementaires appellent
même du déménage de la séance du parlement hors de Sud d’Afrique où la sécurité
des membres peut être garantie si le pays d’accueil ne peut pas donner une
telle assurance.
La plainte est suivie de l’attaque à Hon. Aissatou Sow Diawara un membre de PAP du Sénégal qui a été fusillé et blessé sévèrement le juillet 2016 en sa
route de son hôtel OR Tambo International Airport de Johannesburg. Les trois autres parlementaires de Namibie,
partageant le même véhicule étaient robés de leurs biens, les forcés de
retourner au Namibie. Les attaques du juillet 2016 sont suivies à l’autre
attaque semblable du en aoute, en octobre, en mars, 2016 et en mai 2016.
LES MEDIAS D’AFRIQUE DE SUD
Les rédactions des medias de l’Afrique du Sud a la tendance de ridicule
l’image de marque de PAP. Il parait en fait que les medias électroniques et la
presse essayent de surpasser les autres en publiant des reportages négatifs et
insuffisants de PAP. Et apparemment le SABC parait d’être le leader de ces
reportages insuffisants et
déséquilibre des activités de PAP.
L’exemple c’est le reportage de SABC le 10 mai 2018 qui est ans le YOUTUBE.
Regardez : : https://www.youtube.com/watch?v=yc8NgeNe1mM
Les reportages et commentaires au journal local sont tous des critiques aux
activités de PAP vis-à-vis ’’ Dirigeants corrompus’’ Ils se plainent que leur
gouvernement gaspille les revenues pour fournir des fonds à une telle
organisation inutile et corrompu au lieu des autres secteurs plus importants.
Ces genres de reportage négatifs des medias provoquent les attaques
regrettables et malheureuses de xénophobes à l’Afrique de Sud. Les véhicules et
les cars qui emmènent les parlementaires pendant les sessions ne sont plus
marqués parce que cela les font identitaires et facile à attaquer. Les
parlementaires en sortant du secrétariat de PAP ôtent immédiatement leurs étiquettes
ou risquent d’être attaquer.
Pour améliorer cette situation, le gouvernement sud africain doit commencer
sérieusement et agressivement l’éclaircissement publique, le renseignement et
la formation de ses citoyens sur les bénéfices d’accueillement de PAP et ses
contribution à l’économie locale même dans l’incapacité de renouveler et / ou
honorer l’accord du pays d’accueil.
CONCLUSION
Le Sud d’Afrique se porte candidat avec l’Egypte en 2004 pour le privilège
d’accueillir le PAP et étant sélectionné
grâce au paquet présenté à l’UA. Depuis ce temps-là, il jouit des bénéfices économiques
d’accueillir une telle organisation continentale et il est obligé de fournir
ces parts de l’accord. Ainsi, il doit comme une obligation commencer le processus
de construire le secrétariat permanant et la résidence officielle pour le
président de PAP.
Deuxièmes, comme le pays d’accueil, L’Afrique de Sud devrait etre un de
premiers pays à ratifier le protocole de PAP révisé. L’on alors s’étonne si le
protocole de PAP révisé peut recevoir la considération positive de l’Afrique de
Sud face à cette attitude hostile vers le PAP que le pays volontairement demandé
d’accueillir.
Troisièmes, les parlementaires sud-africains devrait stopper de se considérer
comme des superviseurs ou l’autorité supérieure au PAP et essayer de contrôler
leurs paroles envers le PAP et ses activités pendant la séance plénière du
parlement sud-africain. De susciter les sentiments contre le PAP à la séance plénière
de leur parlement en plus peu de provocation est condamnable. Le désir de créer
un bon réseau et pontifie les affiches sur le YOUTUBE devrait etre contrôler.
Encore la délégation de PAP d’après l’Afrique du Sud devrait se voir comme ‘’ déployé
au PAP’’ pour faire les travaux de hachette. Et puis, on peut faire rappeler
les parlementaires de Parlement panafricain les provisions de la règle 7(3) des
règles de la procédure PAP qui dit que les membres de Parlement panafricain voteraient
selon leurs capacités personnelles et indépendantes
et ne devraient pas recevoir par obligation aucune instruction ou ordre
d’aucune autorité (l’emphase ajouté).
Finalement les medias sud-africains devraient tout le temps essayer d’être précis
et objectifs au reportage des activités du parlement. Le journalisme de
hachette ne favorise personne.
Traduit par Monsieur Josephat Akakuru (akakurunche@gmail.com)
Traduit par Monsieur Josephat Akakuru (akakurunche@gmail.com)
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