H. E. Hon. Roger Nkodo Dang |
Le 27 juin 2014, à
Malabo, Guinée Équatoriale, l’Assemblée des chefs d’états et Gouvernement de l’Unité
Africaine (UA) parvient à une décision remarquable en adoptant le protocole révisé
du Parlement Pan Africain(PAP). Le protocole révisé de PAP requiert la
ratification par vingt-huit (28) membres d’états avant qu’il soit imposé, mais
au moment huit pays seulement, à savoir : le Mali, le Togo, le Sierra-Leone,
la Gambie, la République Démocratique de Sahrawi Arabe, la Cameroun, le Madagascar
et la Somalie ont ratifié le protocole. C’est décourageant à cause de
l’importance du protocole.
Cependant, ce n’est pas
particulier au Parlement Pan Africain car dans son message de bonne volonté à la
sixième session parlementaire de quatre parlement de PAP le mai 2018, le chef de la Commission de
l’Unité Africaine (CUA), Son Excellence Moussa Feki Mahatma exprime son mécontentement
à la lenteur de la ratification de beaucoup
de traités quelques années après l’approbation par l’Assemblée des chef d’états
et Gouvernement jusqu’au moment sans mise en œuvre et insistait à la nécessité
de mobiliser volontairement une politique solide pour avancer l’Afrique.
Il est revu alors que le
PAP s’embarquer agressivement aux missions de sensibilisation pour accéléra la
ratification, domestication et la mise en œuvre de protocole pour s’assurer
qu’il ne fait pas partie de 95% de la catégorie des décisions d’Assemblée à
ratifier encore. Le PAP peut jouer son rôle attendu comme moteur à l’intégration politique et économique
de l’Afrique quand ce protocole est ratifié
L’Honorable Bethel
Nnaemeka Amadi pendant sa titulaire comme le président du troisième parlement
de PAP le protocole révisé était vivement adopté croyant que la ratification du
protocole est très critique à la croissance institutionnelle de PAP comme
parlement continental et un prenable à l’intégration économique du continent.
Selon l’Honorable Amadi, le PAP sera autorité de développer la structure légale
que l’Afrique commencer le processus
d’établir des institutions démocratiques,
solides qui aggraveraient la démocratie, bon gouvernement le transparence et la
comptabilité qui sont des prealables pour le développement, la paix et la
stabilité.
Le protocole révisé
enforcera le PAP à développer les politique des structures transitionnelles, le
mouvement transfrontière du peuple, les marchandises et les services
intra-africains. Dans ce cote le PAP
peut vraiment devenir la voix pour la sans-voix du peuple africain à la
tentative d’obtenir une intégration continentale.
Il faut rappeler que l’Assemblée
des chefs d’états et des gouvernements de l’Unité Africain avait, le février
2009, adopté une décision [Assembly/Au/Dec.223(X11)] demandant la Commission de
l’ Unité Africaine (CUA) d’initier une Revue du processus de protocole du PAP
en consultation avec la Comité des Représentants Permanents (CRP)compte tenu aux
avis du PAP. Cela met à la CRP (faisait membres les ambassadeurs des états d’UA).
Au moteur du processus de revue et donc influencé le rapport entre les
dirigeants de PAP et la CRP. Le docteur, Honorable Idris Ndele Moussa (élu en
2009) et son successeur l’Honorable
Amadi (élu en 2012) à leur détermination d’avoir le protocole révisé ont
approuvé, engagé entièrement la CRP pendant leur titulaires et c’était un déterminent
à la réussite de leur rapport avec la CRP.
De dire que le PAP est
dans la difficulté n’est pas une exagération. Il est devant les défis internes
qui menacent sa cohésion comme une institution parlementaire aussi bien que les
défis externes comme une institution parlementaire aussi bien que les défies
externes par suite de dynamiques politiques internes.
La ratification de
protocole révisé s’adressera aux ces
défis d’institutions et aidera le PAP jouer ses rôles attendu comme le moteur
pour l’intégration politique et économique du continent africain.
ELECTION ET TITULAIRE DU BUREAU
L’issue clé de la
rotation qui a crée beaucoup de problème pendant la dernière élection du bureau
était bien résolu dans le protocole revise car l’élection de membre du bureau
serait de côté rotationnel parmi les cinq régions de l’UA. Voir l’articule 12(1)
du protocole révisé. Il y a aussi la nouvelle condition qu’au moins deux
membres devraient être les femmes. Le mandat du bureau serait deux et demie (21/2)
ans renouvelable une fois (au total cinq ans). On peut terminer le bureau d’un
membre s’il se conduit mal par la résolution d’une motion supportée par la
majorité tierce de touts les membres du parlement.
COMPOSITION ET TITULAIRE DES PARLEMENTAIRES DE PAP
Au présent, les
parlementaires de PPA sont élus par les membres de leurs parlements nationaux
et leur titulaires à PAP dépendent de leurs parlement nationaux, ce qui montre
qu’au moment qu’ils ont perdu leurs élection chez eux, automatiquement ils
cessent qu’à même d’être membre de PAP.
Sous le protocole révisé,
les parlementaires de PAP seront élus hors de leurs parlements nationaux au
titulaire de cinq ans, qualifié de la réélection à la totalité dix (10) ans.
Cela veut dire que tout les membres du parlement viendront et quitteront au
meme temps (après chaque cinq ans), abouti au PAP plus stable au contraire de
ce que nous avons au présent où par exemple 72 membres nouveaux parlementaires
environs étaient des jurés pendant le six sessions parlementaires du quatrième
parlement le mai 2018 (l’année d’élection).
Chaque délégation de
l’etat au PAP aurait au moins deux femmes au lieu de l’exigence actuelle si
ratifié. Voire, articule 4. La délégation qui ne satisfait cette condition ne
serait pas accrédite.
Le grand retour des
membres de PAP a fait le progrès de certains issues si lents touchent la
continuité. Le bon exemple est les défis actuels des dirigeants à cause de la
rotation de bureau du parlement du président de parlement. Depuis 2007, il y
avait des tendances pour amender les règles de procédures inserer la clause à
tour de rôle mais n’est pas encore conclue à cause de l’augmentation des
parlementaires et la conséquence c’est la continuité.
LE MANDAT LEGISLATIF
On peut dire que l’élément
le plus important dans le protocole révisé est l’articule 8(1) qui dit que le PAP
est l’organe législatif de l’UA avec le pouvoir de faire le bouillon de lois pour l’approbation de l’Assemblée.
C’est le départ du protocole actuel qui a donné le PAP des pouvoirs
consultatifs et consultants.
Le mandat législatif de
faire les lois modèles ne diminue pas l’autorité ou le souveraineté des membres
d’états car ces telles lois modèles doivent être encore approuvées par l’Assemblée
des chefs d’états et gouvernements et après avoir ratifiées par chaque membre
d’état avant de contraindre. On ajoute que des telles lois modèles peuvent
seulement être faites sur les domaines comme, l’immigration, l’agent de police,
produits pharmacitaux, et les autres marchandises pour assurer l’unique
standard au tour du continent.
Le PAP aura le pouvoir
de recevoir, considérer et soumettre des opinions en brouillon les instruments légaux
comme on les faire de reference, (Articule 8(2) h) aussi bien que recevoir et considère
des rapports des autres organes de l’UA y compris maintenant plus puissance la
CRP ! Le seul organe explicitement exclu de soumettre le rapport au PAP
est l’Assemblée, le Conseil Exécutif et le Tribunal.
LES FONCTIONS EN CORRELATION
Le protocole révisé
consiste à une provision qui requiert le Président de l’Assemblée prononce une
discours sur l’affaire de l’Union Africaine pendant chaque nouvelle session
inaugurale du parlement. Le Président de la Commission requiert aussi au moins
une fois pendant la session de chaque parlement, présente le rapport de la commission
au parlement. Voir articule 20(1) et (2) .
En conséquence, le
protocole révisé a libéré le PAP des autres organes d’UA, délibéré et soumet directement leurs recommandations
à l’Assemblée ou à la Commission Exécutive. C’est un départ de la pratique
actuelle où la CRP, à l’impression de préparer les travaux de la Commission Exécutive
engage à l’omission sur le PAP.
Par exemple, un
rapportage présenté à la dernière soumet de l’UA par la CRP prétend que l’élection
de Président de PAP le 10 mai 2018 ‘ a provoqué beaucoup de désaccordas et la
division parmi les membres de PAP’’ Selon le rapportage si existe des allégations
au medias sur la malle administration des employés et des fonds étaient vrais,
‘ ils soulèveront les doutes aux cœurs des citoyens africains à la crédibilité
de l’UA qui alors était financé par les taux payés par ces citoyens’’ Base sur
la recommandation de CRP le budget de PAP 2019 était suspendu en attendant une
conduite auditif, une action qui determine clairement l’Independence du
parlement.
L’accusation par la CRP
est incorrecte parce que le rapport disponible de l’élection, les deux cents-vingt-quatre
des parlementaires ont voté pendant l’élection de 10 mai 2018 pour élire e
nouveau Président de PAP et le vainqueur Son Excellence le Honorable Roger
Nkodo Dang a procuré les votes de cent trente –trois (133). L’avis de la
majorité a prévalus et l’issu était déterminé à
la session plénière du parlement. Pour les perdants de se précipiter
vers leurs représentants à la CRP questionnant la sagesse des parlementaires
sur la manière qu’ils ont voté ou meme tenté de renverser le résultat de l’élection
au lieu de passer au plénière doit être condamné et sans démocratique.
Dans le meme rapport la
CRP a accusé le PAP qu’il ne s’embarque pas à aucune activité pour lutter la
corruption, le thème de l’année d’UA ou des autres campagnes contre le fléau.
Encore l’accusation est incorrecte comme il est attesté que la Comité judicaire
et le droit de l’homme de PAP a participé au stage à la lutte de corruption le
moi de mars 2018 et a présenté un
rapport sur le meme issu au sixième session plénière du parlement conclu ce mai
2018, ce qui aboutit au passage de a résolution PAP/PLN/RES/04MAY18 intitulée
Victorieux de la lutte contre la corruption : Un pas de soutènement à la transformation d’Afrique.
L’on se doute pourquoi
la CPR avait fait une telle accusation sans fondement et sans vérifiée le
rapport soumis à l’Assemblée que la dernière a déjà traité, seulement que la
CRP a l’intention de saper la crédibilité de PAP en représentant l’institution négativement
et frustré la ratification du protocole révisé.
L’ASSISTANCE A LA SEANCE
Le siège d’un
parlementaire peut être déclaré vacant si le membre est absent de la séance de PAP pour la période et la circonstance
prescrit par les règles de procédure. Voir articule 6(3) (f). Ce n’est pas ce
qui est obtenu à présent.
C’est le fait tristement
clair que quelques parlementaires n’assistent pas à la séance plénière de PAP
meme quand ils sont en Afrique du Sud sont des sanctions. Il y a des situations
où les parlementaires viennent au secrétariat
du parlement pendant la session plénière pour renouveler seulement leurs
passeports diplomatiques sans participer au plénière meme pour un jour. Cette
partie du protocole aidera insuffler discipline à l’assistance de la séance plénière
aussi bien qu’éliminer ceux qui ne sont pas dévoués aux activités de parlement.
LES MISSIONS DE RENSEIGNEMENTS DE PAP
Il est à noter que les
dirigeants de PAP pendant des périodes de jouissances de Son Excellence, le
Docteur , Honorable Idris Ndele Moussa
et Son Excellence , Honorable Bethel Amadi sont si intéressés dans leurs campagnes pour la ratification des
instruments judicaires de l’UA comme la traite de l’élection et de bon
gouvernement ratifié en 2012, le dirigeant actuel Son Excellence , Hon. Roger
Nkodo Dang a continué de ces campagnes de renseignements et il a rendu visite à plusieurs membres d’états,
ce qui était mal compris et fait objet de campagne pendant la dernière élection
du bureau.
La note particulière c’est la mission de
renseignement de Son Excellence Honorable Dang à la République de Zambie où il
a rencontré le Président Edgar Lungu qui a fait des obligations à la ratification
du protocole révisé. Telle mission notaire doit être encouragée grâce au
potentiel arraché aux obligations directes des chefs d’états et des leaders des
parlements nationaux.
Quand il est ratifié, le
protocole révisé est attendu à transformer le PAP à une institution responsable
d’assurer les leaders Africains et les institutions comptables, renforce les
droits démocratiques et aide encourager l’intégration des pays et du peuple Africain.
CONCLUSION
L’articule 5 de l’Art
consultatif de l’Unité Africaine met sur la liste le Parlement Pan Africain la troisième
organe de l’Unité Africaine. A l’ordre hiérarchie, juste âpres l’Assemblée des
chefs d’États et la Commission Exécutive. La ratification de protocole de
Malabo donnera ce statue le vouloir dire et effectif.
Est-ce qu’il est
possible d’avoir des organes dans l’Union qui sciemment ou inconsciemment
encourageant la crise de confidence sur le dirigeant de PAP comme un moyen de détourner
l’attention de la discussion à accélérer la ratification de protocole de
Malabo ? N’est-il pas possible
qu’il y a des organes qui jouent le rôle et à leur influence parmi l’UA
pourraient influer sur la ratification
de protocole révisé et qui pourrait travailler en couvert contre son
ratification ?
Le bureau et les
parlementaires de PAP doivent continuer à poursuivre en vigoureux renouvelé, avocatiers
pour la ratification de protocole révisé pour que le PAP pourrait commencer de
jouer son rôle attendu sur le domaine de l’harmonisation des lois, des
politiques et des structures qui féliciteront la mise en œuvre du libre-échange
et le mouvement libre des personnes dans le continent.
TRADUIT PAR AKAKURU JOSEPHAT
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